Le Mont-Sainte-Anne, une histoire de famille pour Kim Lamarre
Est-ce que notre force est innée ou est-ce que nous la trouvons dans les personnes qui nous entourent ? Parlez-en avec Kim Lamarre pour qui sa grand-mère, Ginette Séguin, a été une véritable source d'inspiration pour trouver le meilleur d'elle-même.
Kim Lamarre est une skieuse acrobatique, médaillée de bronze aux Jeux olympiques de Sotchi en 2014, une athlète de chez-nous, qui à force de volonté et d’entraînements a réussi à aller au bout de ses rêves !
Tu te demandes sûrement comment est né son amour du ski acrobatique, parce qu’avouons-le, il faut être un peu casse-cou non ?
Dès son plus jeune âge, été comme hiver, Kim allait chez ses grands-parents sur la Côte-de-Beaupré, où son terrain de jeu était devenu le Mont-Sainte-Anne. D’ailleurs, pour la petite histoire, sa grand-mère Ginette Séguin, habitant proche du Mont-Sainte-Anne (Saint-Férréol-les-Neiges), avait elle aussi participé aux J.O d’hiver en Italie à Cortina d’Ampezzo en 1956 . À croire que l’amour des descentes et du ski se transmet de génération en génération pour cette famille!
La skieuse a fait du Mont-Sainte-Anne son terrain de jeu pendant son enfance. Elle fait aujourd’hui, dans une vidéo réalisée par Radio-Canada en collaboration avec le Mont-Sainte-Anne, un retour sur son enfance, sur ce qui l’a poussée à donner le meilleur d’elle-même dès son jeune âge.
Pour cela, elle choisit un souvenir assez cocasse avec sa sœur, que tu peux écouter ici :
Donc, si toi aussi t’as le goût de te construire un rail en bois sur le toit de ton cabanon, tu devrais peut-être demander des conseils avant de te lancer, au risque que la rampe de lancement tienne… plus ou moins (surtout moins) !
Bref, le Mont-Sainte-Anne, c’est aussi ça : des chutes aussi drôles qu’improbables, des fous rires partagés, des cabanons chargés d’histoire… et surtout un amour pour le plein air qui se transmet !
